Les autorités soviétiques de l'époque ont essentiellement accusé les opérateurs et la direction de la centrale. Plus tard, dans le cadre de la politique d’ouverture du régime (la perestroïka), des responsables de la sûreté présenteront un tableau plus nuancé, suggérant que l’accident avait des causes à la fois « scientifiques, technologiques, socio-économiques et humaines ».
La conception même du réacteur présentait des fragilités de sûreté et la culture de sûreté était déficiente.